lundi 8 septembre 2008

une tout petit texte sur la ville de ouazzane


Viva Médina : Ouezzane :Ouezzane la capitale de la région des "Jebala". La ville d'Ouazzane se situe au nord-ouest du Maroc. Elle se place en situation d'interface entre les collines accidentées du pré-Rif et la plaine agricole du Gharb au sud de Oued Loukkous. Elle appartient aux marges méridionales du pays Jbala dont les grandes tribus limitrophes de la ville sont: Masmouda, Rhouna, Ghzaoua et Beni Mestara. Ouazzane est une ville moyenne. Elle comptait 57.972 habitants selon le recensement de 2004. Elle est bâtie en amphithéâtre sur le flanc nord de la célèbre montagne Jbel Bouhlal et le flanc de sud-est de la montagne Jbel Bouakika. Ville attachante aux rues sinueuses et étroites, Ouezzane est connue par sa fameuse Zaouia (confrérie religieuse) des Chourfas de Ouezzane qui sont les descendant de Moulay Abdellah Cherif, fondateur de Ouezzane. Elle doit également sa réputation à son huile d'olive, ses succulentes figues, ses tissus en laine, ses djellabas et son artisanat. (source 2M)

dimanche 7 septembre 2008

100/100 ouazzane


tu veux voire ton ville si vous aimes ouazzane tu peux entres sur ce blog et ne oublie pas les belle mots sur cette ville ok les amis et si vous fais des belles mots ce n'ai pas a moi c'est a ton ville de ouazzane et sa nature ok

ouazzane c'est une belle ville il est manifique il compostes des belle montagne avec les les arbres d'olive et aussi ils compse de l'eau naturle avec des gentil humain de cette region cette petit ville est une ville qui se situe au nord-ouest du Maroc . et plus que il compose un grand mosque qu'il s'appel zaouia ouazzania . aussi aux centre ville il y a le magana (....)

si vous aime cette ville dit amoi des definition pour ecrire a cette manifique ville ouazzane et au revoire les amis(es)

ok moi je n'arret pas de faire les photo et les definition .

si vous avez un site de ouazzane tu peux le donne ou ta un photo tu peux le donne

ok

samedi 6 septembre 2008


C'est un petit restaurant situé à lemelah chez BA LEHECEN.



A vous de poster des avis

les provinces de maroc


Le Maroc compte seize provinces :

1 Chaouia-Ouardigha

2 Doukhala-Abda

3 Fès-Boulmane

4 Gharb-Chrarda-Beni Hssen

5 Grand Casablanca

6 Guelmim-Es Smara

7 Laâyoune-Boujdour-Sakia el Hamra

8 Marrakech-Tensift-Al Haouz

9 Meknès-Tafilalet

10 L'Oriental

11 Oued ed Dahab-Lagouira

12 Rabat-Salé-Zemmour-Zaer

13 Sous-Massa-Draa

14 Tadla-Azilal

15 Tanger-Tétouan

16 Taza-Al Hoceima-Taounate

Histoire



Les origines de la ville d'Ouazzane restent incertains et confus. D'après certaines versions l'existence de la ville remonte à l'antiquité romaine, toutefois rien n'est attesté. La ville fait son entrée dans l'histoire avec l'arrivée du saint Moulay Abdellah Chérif, le fondateur de la confrérie propre à cette ville Zaouia Ouazzania et ce au début du XVIIème siècle. Dès lors le bourg se mua peu à peu en une véritable agglomération urbaine avec les édifices religieux, équipements économiques et sociaux, les constructions des demeures et les plantations de vergers.
Cette agglomération ancienne porte le nom de Medina et qui est caractérisée par des spécificités propres. La première spécificité est flagrante pour tout visiteur: C'est une de rares villes anciennes à n'être pas ceinte de remparts. Il y a absence totale de murs crènelés et de portes fortifiées monumentales comme partout ailleurs au Maroc. Cette particularité réside sans doute dans l'histoire de la ville. La puissance de la confrérie Ouazzania la mettait probablement à l'abri des menaces, de mêmes le caractère sacré de la cité pour les croyants la rendait inviolable à leurs yeux.
Toutefois, il existe des portes qui sont associées aux murs extérieurs des demeures anciennes, ces portes qui permettaient de clore la Médina à la manière d'une enceinte ne présentaient pas un système fortifié réellement définitif, mais elles sont un élément de tradition marocain. La première porte est connu sous le nom de Bab Fatha c'est un arc simple en plein cintre surbaissé en briques cuites et pierres sèches. Elle daterait du XVIIème siècle. La seconde porte est nommé Bab Jmouâa. Elle est constituée par un arc brisé outrepassé doublé par un arc à lambrequins, les écoinçons sont ornés d'un riches motif géométrique sculpté et le tout est surmonté d'une console pilastre supportant un auvant de tuilles vertes vernissées.
Les passages couverts ou Sabats sont peu nombreux et constituent une spécificité de la cité. Ces éléments architecturaux sont constitués par une plusieurs pièces construites au niveau du premier étage d'une demeure et chevauchant la rue. Certains de ces passages couverts sont supportés par une succession d'arcades et forment parfois des passages étroits et bas, voûtés et coudés.
DAR-SQAF est le quartier le plus ancien de la médina. Il est le site du village original dans lequel se serait installé le fondateur de la confrérie Ouazzanie Moulay Abdellah Cherif dont sa demeure subsiste à cet endroit. Ce quartier est associé à celui de ZAOUIA qui abrite la célèbre mosquée qui porte le nom du quartier et réputée par son minaret octogone. Ce quartier faisait le siège de la confrérie Ouazzanie. Le Cheikh actuel c'est-à-dire le chef de la dite confrérie y réside. Le bâtiment principal consiste en un vaste patio auteur duquel une galerie à arcs brisés distribue quatre salles de même dimensions ornées de portes et fenêtres et de somptueux plafonds de bois peints. La sobriété de la décoration et la majesté des proportions en font l'un des plus purs produits de l'architecture locale. Ce bâtiment ne devait servir que de résidence et de siège administratifs. Il abritait également un palais réservé à l'accueil des affilités et des pèlerins.
Outre ces deux quartiers, on évoque le quartier MELLAH qui abritait la communauté juive. Ces quartiers ensembles présentent le coeur de la médina. Ils sont tous reliés à un centre commercial par excellence, ou sont regroupées les principales activités commerciales dont la plus spéciale est le commerce de la Jellaba Ouazzania. Les rues de ce centre, exclusivement réservées au négoce sont bordées de boutiques juxtaposées sans discontinuité et présentant un ensemble de constructions d'architecture homogène.

ouazzane


Ouazzane (arabe : وزان) est une ville qui se situe au nord-ouest du Maroc. Elle se place en situation d'interface entre les collines accidentées du pré-Rif et de la plaine agricole du Gharb au sud de Oued Loukkous. Elle appartient aux marges méridionales du Pays de Jebala dont les grandes tribus limitrophes de la ville sont : Masmouda, Rhouna, Ghzaoua et Beni Mestara, Beni Mezguelda.

petite definition sur ouazzane


Ouazzane est une ville du nord-ouest du Maroc sur la chaîne du Rif d'environ 70 000 habitants. Son économie est basée sur l'agriculture et l'artisanat. Elle est située sur la route liant Tétouan à Fès.
videos


HistoriqueLes origines de la ville d'Ouazzane restent incertaines et confus. D'après certaines versions l'existence de la ville remonte à l'antiquité romaine, toutefois rien n'est attesté. La ville fait son entrée dans l'histoire avec l'arrivée du saint Moulay Abdellah Chérif, le fondateur de la confrérie propre à cette ville Zaouïa Ouazzania et ce au début du XVIIème siècle. Dès lors le bourg se mua peu à peu en une véritable agglomération urbaine avec les édifices religieux, équipements économiques et sociaux, les constructions des demeures et les plantations de vergers. Cette agglomération ancienne porte le nom de Médina et qui est caractérisée par des spécifiés propres. La première spécifié est flagrante pour tout visiteur:C'est une de rares villes anciennes à n'être pas ceinte de remparts. Il y a absence totale de murs crénelés et de portes fortifiées monumentales comme partout ailleurs au Maroc. Cette particularité réside sans doute dans l'histoire de la ville. La puissance de la confrérie Ouazzania la mettait probablement à l'abri des menaces, de mêmes les caractères sacrés de la cité pour les croyants la rendait inviolable à leurs yeux. Toutefois, il existe des portes qui sont associées aux murs extérieurs des demeures anciennes, ces portes qui permettaient de clore la Médina à la manière d'une enceinte ne présentaient pas un système fortifié réellement définitif, mais elles sont un élément de tradition marocain. La première porte est connu sous le nom de Bab Fatha c'est un arc simple en plein cintre surbaissé en briques cuites et pierres sèches. Elle daterait du XVIIème siècle. La seconde porte est nommé Bab Jmouâa. Elle est constituée par un arc brisé outrepassé doublé par un arc à lambrequins, les écoinçons sont ornés d'un riche motif géométrique sculpté et le tout est surmonté d'une console pilastre supportant un auvent de tuiles vertes vernissées. Les passages couverts ou Sabbats sont peu nombreux et constituent une spécifié de la cité. Ces éléments architecturaux sont constitués par une plusieurs pièces construites au niveau du premier étage d'une demeure et chevauchant la rue. Certains de ces passages couverts sont supportés par une succession d'arcades et forment parfois des passages étroits et bas, voûtés et coudés. DAR-SQAF est le quartier le plus ancien de la médina. Il est le site du village original dans lequel se serait installé le fondateur de la confrérie Ouazzanie Moulay Abdellah Chérif dont sa demeure subsiste à cet endroit.Ce quartier est associé à celui de ZAOUIA qui abrite la célèbre mosquée qui porte le nom du quartier et réputée par son minaret octogone. Ce quartier faisait le siège de la confrérie Ouazzanie. Le Cheikh actuel c'est-à-dire le chef de la dite confrérie y réside. Le bâtiment principal consiste en un vaste patio auteur duquel une galerie à arcs brisés distribue quatre salles de même dimensions ornées de portes et fenêtres et de somptueux plafonds de bois peints. La sobriété de la décoration et la majesté des proportions en font l'un des plus purs produits de l'architecture locale. Ce bâtiment ne devait servir que de résidence et de siège administratifs. Il abritait également un palais réservé à l'accueil des affiliés et des pèlerins. Outre ces deux quartiers, on évoque le quartier MELLAH qui abritait la communauté juive.Ces quartiers ensembles présentent le coeur de la médina. Ils sont tous reliés à un centre commercial par excellence, ou sont regroupées les principales activités commerciales dont la plus spéciale est le commerce de la djellaba Ouazzania. Les rues de ce centre, exclusivement réservées au négoce sont bordées de boutiques juxtaposées sans discontinuité et présentant un ensemble de constructions d'architecture homogène.

Le Mot Ouazzane que la ville porte de nos jours demeure obscure. Les études consacrées à l'histoire de la ville en donnent trois versions différentes et plus difficiles à et ailler les unes que les autres: • Le mot serait d'origine latine et aurait été donné à la ville par un empereur romain dont le prince héritier aurait porté ce nom. • Le mot d'Ouazzane aurait pris son origine du mot arabe Al Ouazzane (le peseur) qui aurait été attribué à un nommé Abdeslam propriétaire de balance qu'il entreposait à lèntrée de la ville au lieu dit aujourd'hui rmel, les commerçants étant obligés de recourir à ses balances pour peser leurs produits, on l'appelle alors Al Ouazzane. • Le mot serait dû à la contraction de l'expression Oued Ezzine du fait de la beauté frappante des sites panoramiques de la ville.

c'est la femme de ouazzane


Les Ouazzanis, eus, sont vraiment exquis. Ils ont de qui tenir, eux qui ont bercé dans le superbe mythe de leur environnement. De toutes les légendes (au nombre de trois) expliquant l'origine du nom de la ville, je retiendrait la plus poétique, celle attribuant l'origine du nom à Oued Zine. Cependant cette belle graine ne porte ou ne supporte pas sa ville. Qu'ont-ils donc tous à se réclamer de Fès ? Au premier contact ? Ils se

ouazzane



Ouazzane en arabe,وزان , ce sont quatre caractères sans lien, comme pour exprimer un refus farouche de tout contact. En français c'est un bouquet de voyelles que fécondent deux zz tellement ravis de le belle union que le n qui suit résonne comme un écho de satisfaction.Cette élucubration me suggère les deux facettes de Ouazzane : une ville enclavée et une élite brillantes. En claire, il y a la ville et les Ouazzanis.La ville de Ouazzane est un cas,et nombreux sont les observateurs à en convenir.C'est une ville forte notoriété, mais elle est loin de l'égaler. Son nom happe notre curiosité, on s'y rend non sans une certaine fébrilité. Car nous avons en tête un ami, un voisin ou une vague connaissance dont on connaît les qualités. Une ville dont se réclame toute une élite qui a la saveur et sérénité de ses produits ; en l'occurrence la figue et l'olivier, ne peut décevoir. Hélas ! Quand foule son sol, la torpeur ambiante nous précipite sur le chemin du retour. Et dire « qu'elle constituait tout au long du 19ème siècle une des principales petites ville du pays (et compter à la fin siècle dernier prés de 27 centres urbains) ». A présent sa trace d'elle, même pas dans le fastidieux annuaire statistique du Maroc qui fourmille de chiffres, et où on y trouve Ben Guérir, Missour et bien d'autres coins reculés. Même pas dans les statistiques des Maàsras, et pourtant l'huile d'olive, la fameuse Ouazzania... ! Ouazzane, diluée dans le Gharb Chrarda bni Hssen, semble se contenter du nouvel essor de son artisanat du bois « lié à la qualité des productions tels que le tsabih ou la ghayta, mais bien plus,grâce au sebsi...11 ateliers sur 20 vivent principalement de la fabrication du la sebsi. L'amer quotidien Ouazzani serait-il soluble dans les volutes enivrantes du Kif ?

Le Mot Ouazzane que la ville porte de nos jours demeure obscure. Les études consacrées à l'histoire de la ville en donnent trois versions différentes et plus difficiles à et ailler les unes que les autres: • Le mot serait d'origine latine et aurait été donné à la ville par un empereur romain dont le prince héritier aurait porté ce nom. • Le mot d'Ouazzane aurait pris son origine du mot arabe Al Ouazzane (le peseur) qui aurait été attribué à un nommé Abdeslam propriétaire de balance qu'il entreposait à lèntrée de la ville au lieu dit aujourd'hui rmel, les commerçants étant obligés de recourir à ses balances pour peser leurs produits, on l'appelle alors Al Ouazzane. • Le mot serait dû à la contraction de l'expression Oued Ezzine du fait de la beauté frappante des sites panoramiques de la ville.